Bonjour.

Je bricole pas mal de trucs électriques et parfois je me trouve confronté à un court-circuit que je n'avais pas anticipé.
Ce n'est pas très grave dans la mesure où les différentiels et généraux protègent correctement l'installation, seulement cela coupe parfois le jus de toute la maison, ce qui est agaçant.

Existe-t-il un disjoncteur "rapide" (ou idéalement une simple prise / multiprise) capable de sauter plus vite que les autres dispositifs de protections ? De cette façon j'aurais sous la main ce dispositif et seul l'appareil testé serait mis hors fonction le cas échéant.
Merci de vos éclairages.

Bonjour,

Merci pour les suggestions.

Après examen c'est encore plus simple : le dormant est en métal (!) et les gonds sont intégrés au métal (!) ce qui rend tout bidouillage impossible. Donc j'ai scié le haut de la porte et collé la partie haute pour garder une porte plus petite qui ouvre vers l'intérieur.

P. S. : Le poseur du plafond c'est moi, ça ne m'était pas venu à l'esprit de contrôler le sens d'ouverture des portes auparavant

Citation :
Comment se fait-il que cette porte ou cette double porte ait son sens de ferrage inversé ?

C'est une porte simple dont le poseur a dû boire un coup de trop ou simplement a confondu "grand placard" avec "petite pièce". Le fait est qu'il y avait la profondeur et la hauteur pour ouvrir la porte avant que j’abatte le plafond pour le reconstruire 30cm plus bas.

Citation :
Isolation dans les placards uniquement ?

Non mais seuls les placards étaient dans une partie en sous-pente sans espace entre le plafond et les tuiles, le reste des pièces a pu être isolé par soufflage entre le plafond et les tuiles.

Mes seuls outils qui me semblent utilisables ne me conviennent pas du fait de la finition (lame vibrante et/ou ciseau à bois) et mon rabot guillaume est trop petit et surtout ça me semble très fastidieux sur tout le tour du dormant (près de 3m linéaires sur 20mm de profondeur !). Je ne voyais pas comment utiliser la scie sauteuse sur un cadre qui est dans la maçonnerie (la lame ne peut pas traverser le bois) et le rabot électrique que j'ai (et ceux que j'ai vu dans le commerce) sont tous limités par la taille de la lame qui ne vient jamais jusqu'au bord de l'appareil (la "marge" du bord étant précisément l'endroit où j'aimerais raboter).
Votre proposition serait donc de mettre "à nue" la totalité de la feuillure avant de reconstruire une tapée bien placée par un tasseau ou quart de rond, c'est bien ça ? Ça me semble effectivement plus jouable que de chercher à raboter une partie de la tapée existante, même si l'existante avait le mérite de faire "bloc" avec le reste du dormant.

Bonjour,

Surprise du chef : après abaissement de mes sous-pentes pour isolation, le plafond des placards est plus bas qu'auparavant.
Alors que je remets les portes des placards qui s'ouvrent logiquement vers la pièce principale (où le plafond est toujours à la même hauteur) l'un d'eux s'ouvre... vers l'intérieur !

Solution 1 : plus de porte
Solution 2 : un rideau
Solution 3 : supprimer la porte et en mettre une nouvelle
Solution 4 : inverser la porte de côté.

J'ai un faible pour la solution 4, d'autant que la forme de la feuillure s'y prête (presque) bien. L'ennui est qu'il faudrait que je rabote de 20mm la tapée sur tout le tour et que faire ça à la main est laborieux et moche en résultat (d'expérience ça fini à coup de ciseaux et de découpe vibrante du plus désastreux effet ).

Existe-t-il un outil auquel je n'aurais pas pensé qui permettrait de faire ça ? un rabot électrique qui rabote jusqu'au bord (c'est pas le cas du mien...) ? Un guillaume plus large que le mien ? Une meule pour défonceuse ? une meuleuse d'angle pour bois ? Une autre idée ?

Avec quoi font les pros quand une porte ferme mal pour récupérer une tapée propre un poil plus loin ?

OK, donc pour vérifier si j'ai compris, semblez-vous penser que le schéma actuellement utilisé est celui-ci ?

Parce que compte tenu de l'existant, si je me fie au couplage étoile présenté dans votre premier message tout en contrôlant que l'un des 3 fils est un neutre, la résistance médiane se retrouve effectivement en série avec les 2 autres ce qui doit considérablement handicaper toute l'installation. Or ce chauffe-eau bien qu'âgé semble fonctionner parfaitement bien à ce jour, mais du coup je comprends mieux votre remarque sur le fait que ça ira mieux après correction.

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La vérification est faite, c'est bien un biphasé : le thermostat (dont je ne trouve malheureusement aucune doc technique) a été volontairement monté comme dans mon premier schéma avec un fil bleu de neutre encadré par 2 fils rouges de phase et l'électricien a pris la peine de mentionner au tableau "cumulus : 2 phases + neutre" alors qu'il avait les 3 phases disponibles aisément à proximité. Je penche donc pour un pontage entre les 2 phases initiales pour palier à l'absence de la seconde phase, car autrement cela reviendrait à ne faire entrer que des phases dans un thermostat conçu pour fonctionner avec un neutre et 2 phases.

Je sais que c'est peu courant le bi et le di phasé, peut-être est-ce lié au fait que la maison était adossée à l'usine dont était également propriétaire la famille qui l'a construite. Cela dit le thermostat n'a probablement pas été conçu spécifiquement pour cette maison, ce qui me laisse penser que cette situation a dû exister ailleurs, ne serait-ce que sur le nombre d'unité vendue de cet appareil.

Vous me direz qu'il suffirait de changer le thermostat pour simplifier, mais c'est presque le prix d'un chauffe-eau...

Parfait !
En fait je ne me suis pas encore rendu sur place, je l'ai cru sur parole et sur la couleur des fils pour estimer que le bleu était un neutre, je ne sais pas s'il l'a testé.
Si ça se trouve c'est une troisième phase et nous sommes bien dans le premier schéma du haut de GL.
Et si ça se trouve il est effectivement mal branché, j'ai juste trouvé ça et là des explications sur le di et le bi phasé (plus rare bien sûr que le triphasé).
Si je prends le schéma de Martien-071 à ma sauce ça me donne donc ça ?

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Voici ce que je voulais dire dans le message précédent (en espérant sa validation).

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Excellent, merci beaucoup, les schémas sont très clairs pour le cas d'un triphasé, maintenant ce qui me chiffonne moi c'est la mise en pratique sur cet appareil qui n'a que 2 phases : si je comprends bien le boitier noir en dessous est le thermostat ? Il dispose de 6 branchements (3 de chaque côté) et sur la cuve du chauffe eau je compte 5 contacts.

Actuellement les 2 phases et le neutre sont d'un côté sur le boitier et 3 fils en partent vers la cuve. A première vue le plus simple serait d'amener la même phase sur les 2 contacts des phases actuelles mais je crains de me retrouver avec au moins l'une des résistances à 0 (phase-résistance-phase). Comment voyez-vous l'un ou l'autre des montages proposés ?

A ma connaissance des boutons poussoirs ne comportent que 2 fils utiles : l'un apporte un courant (une phase) qui sera "ramené" par l'autre lorsque le poussoir sera enclenché, provoquant un bref court-circuit interprété comme une commande d'allumage ou d'extinction par le rupteur (ou la minuterie). Le 3éme fil trouvé ici doit avoir un autre usage, ou commander un second rupteur. Il faut contrôler s'il réagit au testeur de phase lorsque le poussoir est neutre et lorsque le poussoir est enclenché.
S'il ne réagit à rien c'est qu'il ne sert a rien pour cet éclairage et le débrancher pour tester ce qui dysfonctionne pourrait amener des réponses.

Bonjour,

J'aimerais aider mon paternel à passer d'un chauffe-eau comportant 2 phases (biphasé ?) à un branchement monophasé pour quitter l'abonnement triphasé qui na plus aucun intérêt dans cette maison en dehors de cet appareil.

Il semble que ce soit un d820332 Pacific Master connecté via un boitier RAC10.1/2319V.
A part changer le chauffe-eau, y a-t-il un branchement envisageable sur celui-ci ? (même si cela amène à un temps de chauffe plus long, ce qui me semble inévitable).

Merci d'avance pour vos lumières

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Merci beaucoup !
Ça en fait des manips pour s'épargner la vaisselle !
Isoler un élément par rapport à la terre c'est pour tester la valeur ou pour le faire fonctionner sans mise à la terre ?
Car je suppose que s'il marche bien il est censé être mis à la terre pour protéger l'utilisateur, non ?

Pour répondre à tout ça j'ai relancé un programme différent (le plus fort à 70°) et cela a été légèrement différent : il me semble qu'au lieu de boucler sur un lavage interminable sans ouvrir le clapet de produit, il a rempli / vidangé en continue la cuve.
Autre point remarquable : j'ai cru qu'il remarchait car pour la première fois j'ai vu le compte à rebours perdre 1 minute (de 128 à 127) mais ensuite plus rien ne bougeait.

Citation :
La vidange initiale OK ?

OUI même qu'il ne fait plus que ça (remplissage /vidange).

Citation :
Il prend l'eau et le niveau en cuve semble normal ?

OUI.

Citation :
Les filtres et autres OWI sont propres

OUI.

Citation :
La pompe de recirculation fonctionne.

NON mais il me semble qu'elle fonctionnait la dernière fois (bruyamment)

Citation :
L'eau chauffe ou pas ?

NON car elle est immédiatement vidangée.

Citation :
Est-ce qu'il s'éteint en cours de cycle pour ensuite repartir tout seul ?

NON il continuait en boucle sans jamais faiblir pendant des heures (jamais tenté sur des jours ). Cette fois-ci j'ai tenu 5 minutes.

Bonjour,

Je cherche quelle est la pièce défectueuse pour mon lave vaisselle Bosch silence Sgs55e98eu/37 qui démarre n'importe quel programme sans difficulté mais "bloque" le compte à rebours au temps de démarrage initial et boucle sans fin sans décompter aucune des minutes / heures qui passent.
Le cycle initial peut donc être infini, sans ouverture du clapet de produit.

J'imagine qu'il pourrait s'agir d'un capteur indiquant la turbidité de l'eau, mais aussi du programmateur ou tout autre élément auquel je n'aurais pas songé.
L'aide d'un technicien expérimenté serait bienvenue.
Merci.